† Smoke some Weed ✞

Smoke some Weed ✞

Je remballe mes affaires une par une, toujours le même refrain, toujours la même rangaine, je fait mes valises sans jamais savoir ou je vais, je perd vite pied dans ce monde ou tout est démesurées, je subit le changement mais je ne vit pas avec, le jour ma donné un rendez vous peut être un peu trop tard pour que je me rende compte qu'un de mes rouge à lèvres était peut être tombé dans un égout, dégeulasse ou des rats court tel un troupeau de mouton près à se jeter dans le fossé, peu m'importe de tout ça, j'aime défié l'interdit et joué avec l'enfer, j'aggrave certainement mon cas en parlant crument, et vulgairement et avec mon manque d'intelligence je put concevoir que je blesserai l'un de vous, et au diable c'est passion meurtrières qui vous dévore de jour en jour ne comprenaient vous pas réellement ce qui nous entoure. Je ramasse ce fouilli, ces fringues posé là sans aucune signification pour vous, on vous raconte toujours les mêmes histoire, la moral et toujours la même, les pleures non même plus de causes, tu avances à reculons, et à reculons tu repart, je n'arrive plus à rassemblé mes idées dans ce monde virtuel, j'apprend plus de mes erreurs, je les contrôles, je suis folle allié certe mais ce n'est pas pour autant que je suis comparable. je fait mes valises je repart dans un monde ou la réalité n'est pas la votre celle ou on à le droit de rêver à un monde meilleur!
Bonheur passager, Oui je meurs

Je tombais dans ces histoires envenimeuses ou je n'avais comme seul arme ma naïveté, biensur il s'en fut de quelque naufrage pour que je comprenne que je m'étais fait roulé, je n'avait pourtant pas montré cette effet pulvérisateur qui était en moi, et avait plutôt caché que j'était quelque peu dévérgondé, j'avait peur que dans ce pur jardin d'eden tout s'arrête, je ne voulait en aucun cas revenir à cette réalité meurtrière, j'avait prédis cet avenir certain. ce but que j'avait dans la vie, tout ça en un seul mouvement s'effondré, je n'avait pas eu le courage de remonté sur scène, rongé par le désespoir qu'avait causé ma peine, je n'avait plus rien à espéré d'une bande d'amies oubliés, m'étant fiée à des apparences bien trop trompeuse je n'avait pas compris ce jeu incessant, pris à mon propre piège je n'avait plus aucun repère. Je gardais ce foutue sourire au coin de mes lèvres, divulgant certainement mon mal être, pour bien des gens m'ayant connue, mais pourtant celui-ci était bien trompeur, je n'avait pas osé remballé ma foutue fierté de gamine, et retourné dans cette chambre ou les souvenirs était certainement lugubre, je m'étais approprié cet endroit, j'avait tout de même réussir à réalisé quelque chose de démesuré, mais ça n'est pas rentré, ça n'est pas resté, je connaissait mes limites, mais j'allait bien au delà, je faisait une overdose de solitude, tout remblais vide, mon regard était macabre, mon sourire n'avait plus aucune expression, je n'avait plus aucun repère, but dans la vie, n'y objectif à atteindre. J'avait seulement ton visage pâle, autrefois lumineux. C'était triste et pourtant!
C'est effrayant de Voir à quel point nous sommes seul et a quel point la culpabilité et la haine peuvent nous rongé!
parfois la nuit je suis insomniac, c'est grave?

Y'a plus de plaisir, plus d'aristocratie, que des mecs louches, des femmes refaite, plus de vis à vis, plus d'apprioris, plus d'espoir dans le noir que du vent , la mode se démode,Les plaisirs s'en vont, y'a plus de créativité façe à la nouveauté , la vie est dure, les villes font peur, les jeunes sont fous, y'a plus d'espoir, y'a plus de miroir il n'y a que des reflets ou on ne voit plus au loin, y'a plus aucun tacte, tout est plat, tout est vide, tout est trop grand mais sans magie, Y'a plus d'amour plus de je t'aime, y'à tout qui part, tout le monde s'en va, y'a plus ta voix, y'a plus de reponses aux nombreuses questions, Plus rien à de sens, plus rien d'épanouissant, y'a plus d'avenir, y'a plus de budget, y'a plus de famille, que des connards, y'a plus de pitité, plus d'amour propre, plus de remords, plus de musique, y'a plus de bonheur que du passager, y'a plus aucune trêve vers l'avenir, les debouchés sont alors bouché, tout n'est plus rien, Y'a plus de potentiel juste des peripatheticiennes, y'a plus de belles paroles dans tes chansons, y'a plus de repartie, tout est moche tout est therne, tout es noir, tout est con... Un peu comme toi par exemple.
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